Transmission of foodborne zoonotic pathogens to riparian areas by grazing sheep

食源性人畜共患病原体通过放牧绵羊传播到河岸地区

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作者:Sara J Sutherland, Jeffrey T Gray, Paula I Menzies, Sarah E Hook, Suzanne T Millman

Abstract

Abstract in English, French The objective of this study was to determine if sheep grazing near riparian areas on pasture in Ontario are an important risk factor for the contamination of water with specific foodborne pathogens. Ten Ontario sheep farms were visited weekly for 12 wk during the summer of 2005. Samples of feces, soil, and water were collected and analyzed for the presence of Escherichia coli O157:H7, Salmonella spp., Campylobacter jejuni and C. coli, and Yersinia enterocolitica, by bacteriological identification and polymerase chain reaction (PCR). The data was analyzed as repeated measures over time using mixed models. No samples were positive for Salmonella, and no samples were confirmed positive for E. coli O157:H7 after PCR. Levels of Campylobacter were highest in the soil, but did not differ between soil where sheep grazed or camped and roadside soil that had never been grazed (P = 0.85). Levels of Yersinia were highest in water samples and were higher in soil where sheep had access (P = 0.01). The prevalence of positive Campylobacter and Yersinia samples were not associated with locations where sheep spent more time (Campylobacter P = 0.46, Yersinia P = 0.99). There was no effect of stocking density on the prevalence of Campylobacter (P = 0.30), but as the stocking density increased the levels of Yersinia increased (P = 0.04). It was concluded that although sheep transmit Yersinia to their environment, pastured sheep flocks are not major risk factors for the transmission of zoonotic pathogens into water. Cette étude avait comme objectif de déterminer si des moutons broutant près de zones riveraines dans des pâturages en Ontario sont d’importants facteurs de risque pour la contamination de l’eau avec des agents de toxi-infections alimentaires spécifiques. Dix fermes ovines ontariennes ont été visitées à chaque semaine pour 12 semaines au cours de l’été 2005. Des échantillons de fèces, de sol et d’eau ont été prélevés et analysés pour la présence d’Escherichia coli O157:H7, Salmonella spp., Campylobacter jejuni et C. coli, et Yersinia enterocolitica, par culture et identification bactériologique ainsi que par réaction d’amplification en chaîne par la polymérase (PCR). Les résultats ont été analysés comme des mesures répétées dans le temps à l’aide de modèles mixtes. Aucun échantillon ne s’est avéré positif pour Salmonella, et aucun échantillon n’a été confirmé comme positif pour E. coli O157:H7 après PCR. Les quantités de Campylobacter étaient plus élevées dans le sol, mais il n’y avait pas de différence entre les sols où les moutons avaient brouté ou séjourné et des sols routiers où aucun mouton n’a pu paître (P = 0,85). Les quantités de Yersinia étaient maximales dans les échantillons d’eau et étaient plus élevées dans les sols où les moutons avaient eu accès (P = 0,01). Les prévalences d’échantillons positifs pour Campylobacter et Yersinia n’étaient pas associées à l’endroit où les moutons ont passé le plus de temps (Campylobacter P = 0,46; Yersinia P = 0,99). La densité animale n’avait pas d’effet sur la prévalence de Campylobacter (P = 0,30), mais à mesure que la densité animale augmentait il en était de même pour la quantité de Yersinia (P = 0,04). En conclusion, bien que les moutons transmettent Yersinia à leur environnement, les troupeaux de mouton au pâturage ne sont pas un facteur de risque majeur pour la transmission d’agents zoonotiques dans l’eau. (Traduit par Docteur Serge Messier)

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